Pierre Assouline rend hommage au génie de Paul Verhaeghen (à lire sur son blog La république des livres):
"Voilà donc Oméga mineur écrit dans une langue chahutée par un scientifique azimuté, passionné de coïncidences jusqu’à en tirer des pages et des pages inattendues, qui lit à l’oreille et écrit pareillement. Idéal pour raconter la folie du siècle passé. C’est le genre de roman dont on ressort hébété, en se disant qu’on est loin d’avoir tout compris ni bien suivi. Ce qui est préférable à la lecture de ces romans tranquilles où tout arrive mais rien ne se passe, et dont on ressort dans l’état où l’on y était entré."
Que de louanges pour la traduction française d'Omega minor parue chez Le Cherche Midi; c'est aussi le cas dans Le Magazine Littéraire:
"On n’a pas tous les jours l’occasion de dégainer des références de ce calibre, alors allons-y : Oméga mineur de Paul Verhaeghen soutient la comparaison avec les romans de Don DeLillo (Outremonde), Richard Powers (The Gold Bug Variations) ou, plus lointainement, Thomas Pynchon (L’Arc-en-ciel de la gravité)."
Voir De Papieren Man pour un résumé des réactions dans les médias francophones.
Monday, May 3, 2010
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